Chalier, partant de sa prison : pour aller au supplice, adresse à son ami Bernascon, en présence des compagnons de son infortune, ces paroles remarquables : Ami, je connais ton coeur : tu as tout fait pour moi et pour la liberté, ne t'afflige point. Tu connais mes plus secrettes pensées, mon âme toute entiere t'a été developpée : [estampe]